Maison à Lesparre-Médoc à partir de 12 000 € [Vente du 09/05/2019]
Maison d’habitation
Lesparre-Médoc (33340)
Le Bourdieu Nord, 65 bis rue Eugène Marcou
Situation : –
Mise à prix : 12 000 €
Informations pratiques :
- Date et heures des visites sur place : 16/04/2019 de 10h à 12h et le 24/04/2019 de 10h à 12h
- La vente aux enchères publiques aura lieu lors de l’audience du 09/05/2019 à 15h
- Lieu de vente : Tribunal de Grande Instance de Bordeaux
- Consultation du cahier des conditions de la vente au greffe du Tribunal ou auprès de l’avocat poursuivant
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Local commercial à Bordeaux 106m² à partir de 130 000 € [Vente du 09/05/2019]
Local à usage commercial
Bordeaux (33800)
168 Cours de l’Argonne
Situation : –
Mise à prix : 130 000 €
Informations pratiques :
- Date et heures des visites sur place : 04/04/2019 de 12h à 14h et le 29/04/2019 de 14h30 à 16h30
- La vente aux enchères publiques aura lieu lors de l’audience du 09/05/2019 à 15h
- Lieu de vente : Tribunal de Grande Instance de Bordeaux
- Consultation du cahier des conditions de la vente au greffe du Tribunal ou auprès de l’avocat poursuivant
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[IMMOBILIER] Les agents de la mairie ne peuvent pas pénétrer dans le logement Airbnb sans autorisation
Les grandes agglomérations (Paris, Bordeaux, Nice…) font la chasse aux locations Airbnb. Cette activité est désormais extrêmement réglementée et les locations « sauvages » peuvent être lourdement sanctionnées. (V. Les obligations administratives et civiles du loueur « Airbnb »).
Au titre de l’arsenal de contrôle des agents municipaux, l’article L651-6 du Code de la Construction et de l’Habitation permet de pénétrer, sans autorisation, dans un local d’habitation.
L’INCONSTITUTIONNALITÉ DE LA DISPOSITION LÉGALE
L’article L651-6 susvisé prévoit qu’en cas de refus de l’occupant ; « l’agent assermenté du service municipal du logement peut, au besoin, se faire ouvrir les portes et visiter les lieux en présence du maire ou du commissaire de police ».
Cela permet ainsi à la mairie de vérifier la conformité des modalités d’occupation avec l’usage du bien.
Aux termes d’un arrêt en date du 17 janvier 2019, la Cour de cassation a renvoyé devant le Conseil constitutionnel la question de la constitutionnalité de cette disposition. (C.cass 3ième civ 17 janvier 2019 n° 18-40040).
Le Conseil constitutionnel a jugé cette disposition législative inconstitutionnelle (Cons. const. 5 avril 2019 n° 2019-772 QPC).
En effet, cette autorisation légale méconnaît le principe d’inviolabilité du domicile. Or, l’atteinte à cette liberté individuelle doit être autorisée par le juge judiciaire.
Un agent de la mairie ne peut donc pas, sans autorisation judiciaire ou autorisation de l’occupant, pénétrer de force dans un logement d’habitation.
NOS CONSEILS EN CAS D’EXERCICE D’UNE ACTIVITÉ DE LOCATION MEUBLÉE
L’exercice d’une activité de location meublée doit respecter des règles de nature civile, administrative et fiscale. C’est la raison pour laquelle il est conseillé de faire appel à votre avocat en droit immobilier avec de sécuriser votre investissement.
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Comment évaluer le préjudice en cas de rupture brutale des relations commerciales ?
Une relation commerciale durable ne peut être rompue brutalement. A défaut, l’auteur de la rupture doit réparer le préjudice cause à son ancien partenaire.
En l’espèce, la question était celle des modalités d’évaluation du préjudice ; chiffre d’affaires perdu ? Marge brute perdue ?
La Cour de cassation vient rappeler une position déjà connue : le préjudice correspond à la marge brute perdue.
Cass. com 23 janvier 2019 n° 17-26870 Sté RPM compagny c/ Sté Texto France
LES FAITS A L’ORIGINE DE LA PROCÉDURE
Un fabricant rompt une relation commerciale avec son commissionnaire avec un préavis de 5 mois.
Considérant que le préavis aurait dû être d’un an, le commissionnaire saisit la justice afin d’obtenir une indemnisation au titre de la rupture brutale des relations commerciales.
Il demande le paiement de 7 mois de chiffre d’affaires perdu.
LA PROCÉDURE JUDICIAIRE
La Cour d’appel de Paris fait partiellement droit à la demande du commissionnaire. En effet, elle condamne le fabricant au paiement d’une indemnité correspondant à 7 mois de commissions perdues.
Cependant, la Cour déduit les frais fixes que le commissionnaire n’a pas eu à payer sur cette période.
La victime considère que l’indemnisation de son préjudice n’est pas totale et forme un pourvoi en cassation.
La Cour de cassation confirme la solution de la Cour d’appel de Paris.
LA SOLUTION
L’article L442-6 5° du Code de commerce sanctionne l’auteur d’une rupture brutale d’une relation commerciale établie.
Une relation commerciale durable entre deux partenaires ne peut en effet être rompue brutalement par l’un d’eux. Cela vise les cas d’une rupture sans préavis ou avec un préavis trop court au regard de la durée de la relation commerciale.
A défaut, l’auteur de la rupture doit indemniser la victime pour le temps du préavis raisonnable dont il a été privé.
En l’espèce, la question était celle de la méthode de calcul du préjudice de la victime. Le commissionnaire sollicitait en effet le paiement de dommages intérêts correspondant au chiffre d’affaires perdu.
La Cour de cassation juge cependant que le préjudice correspond non au chiffre d’affaires perdu mais à la marge brute perdue.
La marge brute, qui est une notion comptable, correspond à la différence entre le chiffre d’affaires HT et les coûts HT qui auraient été normalement payés par le partenaire en cas de poursuite de la relation commerciale.
En effet, pour réaliser son chiffre d’affaires, le cocontractant victime aurait normalement engagé des charges (ex : achats, personnel, locaux, assurances) de fonctionnement.
Dès lors que ces charges n’ont pas été exposées, elles doivent être déduites du montant du chiffres d’affaire non réalisé.
La solution n’est pas nouvelle et avait déjà été affirmée par le Cour de cassation (Cass. Com 24/06/2014 n° 12-27908).
NOS CONSEILS EN CAS DE LITIGE
En cas de rupture brutale ou avant de rompre une relation commerciale établie, il est conseillé de faire appel à un avocat spécialisé. Ce dernier saura en effet prévenir une telle rupture ou assurer la défense de l’entreprise victime de ces agissements dont les conséquences économiques sont souvent très préjudiciables.
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MAISON à St Aubin-de-Médoc à partir de 80 000 € [Vente du 9 mai 2019]
Maison d’habitation et corps de bâtiments anciens
Saint-Aubin-de-Médoc (33160)
Domaine de Hourton – 5042 Route de Salaunes
Une première maison d’habitation comprenant cuisine, salon, couloir, deux chambresn dressing, salle de bain.
Une seconde maison non habitable comprenant six pièces.
Dépendance en pierre : ancienne étable avec grenier et box à chevaux.
Situation : Occupée par le propriétaire
Mise à prix : 80 000 €
Informations pratiques :
- Date et heures des visites sur place : 16/04/2019 de 10h à 12h et le 23/04/2019 de 10h à 12h
- La vente aux enchères publiques aura lieu lors de l’audience du 09/05/2019 à 15h
- Lieu de vente : Tribunal de Grande Instance de Bordeaux
- Consultation du cahier des conditions de la vente au greffe du Tribunal ou auprès de l’avocat poursuivant
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Mandat ad hoc et conciliation
Le mandat ad hoc et la conciliation sont des mesures préventives et amiables à disposition des entreprises. Elle offrent un cadre juridique de négociation à l’entreprise avec ses principaux créanciers en vue de trouver des solutions (délais de paiements, remises, financements…) avant toute défaillance.
Il s’agit dans cette perspective d’éviter le recours aux procédures collectives telles que la sauvegarde ou le redressement judiciaire.
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LES POINTS COMMUNS ENTRE LE MANDAT AD HOC ET LA CONCILIATION
Des procédures amiables, préventives et confidentielles
Le mandat ad hoc et la conciliation sont des outils amiables et confidentiels de résolution des difficultés d’une entreprise. Elles sont particulièrement adaptés à la résolution de difficultés de nature conjoncturelles. Elles permettent à l’entreprise de réunir ses principaux partenaires afin de négocier avec eux des délais, remises ou financement dans le but d’éviter une cessation des paiements de l’entreprise.
Amiables. Le mandataire ad hoc ou conciliateur désigné n’a pas de pouvoir pour contraindre les parties à participer aux négociations et à signer un accord. C’est en cela sa faiblesse. Aussi, l’entreprise est libre de rester ou non dans le cadre de ces procédure et peut y mettre fin à tout moment.
Confidentiels. Le Président du Tribunal désigne le mandataire ou conciliateur par une ordonnance non soumise à publication. Egalement, parce que l’ensemble des parties à la négociation sont soumises à une obligation de confidentialité qui est sanctionnée en cas de violation. Surtout, le chef d’entreprise choisit quels créanciers il souhaite attraire à la table des négociations.
Qui peut solliciter l’ouverture de ces mesures ?
Aussi bien pour le mandat ad hoc que la conciliation, c’est le chef d’entreprise qui est à l’initiative de cette démarche. Il doit pour cela saisir le Président du Tribunal compétent. Si l’entreprise (société ou entreprise individuelle) est un commerçant ou artisan, il convient de s’adresser au Président du Tribunal de commerce. Pour toutes les autres entreprises ou associations, le Président du Tribunal Judiciaire sera compétent.
Toutefois, la procédure de conciliation prévue par le Code de commerce ne concerne pas les entreprises agricoles. En effet, celles-ci bénéficient d’une procédure analogue spéciale appelée «règlement amiable agricole». Ce dispositif, qui leur est propre, est prévu à l’article L351-1 et suivants du Code rural et de la pêche maritime.
Une fois la demande d’ouverture déposée, le Juge convoque le chef d’entreprise afin de s’entretenir avec lui. A l’issue, le Président du Tribunal rend une décisions (ordonnance) aux termes de laquelle il désigne le conciliateur ou mandataire. En pratique, ce dernier est généralement choisi sur la liste des administrateurs judiciaires. Cependant il est également possible de proposer le professionnel que l’on souhaite voir désigner.
LES PARTICULARITÉS DE CHAQUE PROCÉDURE
Le mandat ad hoc
La souplesse du mandat ad hoc
La seule véritable condition pour bénéficier d’un mandat ad hoc est de ne pas se trouver en état de cessation des paiements.
Pour le reste, il s’agit d’une mesure très souple car peu encadrée par la loi. En effet, la durée du mandat ad hoc n’est pas limitée dans le temps à la différence de la conciliation qui ne peut pas excéder 5 mois.
La mission du mandataire ad hoc est fixée par l’ordonnance le désignant. De manière générale, sa mission est d’assister le chef d’entreprise dans la négociation avec ses principaux partenaires et créanciers.
L’accord éventuellement trouvé sera purement contractuel entre les parties et ne s’imposera qu’aux signataires. A défaut d’accord, la procédure de mandat ad hoc prend fin et il faut alors se tourner vers la conciliation, la procédure de sauvegarde voire le redressement.
Le formalisme de la demande de désignation du mandataire ad hoc
Le Code de commerce exige simplement que la demande soit adressée par écrit au Président du Tribunal compétent. Le chef d’entreprise doit motiver cette demande (Art. R611-18 C.com).
Le Juge sollicitera le cas échéant des éclaircissements et pièces complémentaires. C’est la raison pour laquelle il est conseillé de joindre à sa demande les pièces justificatives prévues pour la conciliation. (Article R611-22 .Com 1° à 3°)
La conciliation
L’ouverture de la procédure de conciliation
La procédure de conciliation est plus encadrée que le mandat ad hoc. Elle est instituée par l’article L614-4 du Code de commerce.
Afin de solliciter son ouverture, le chef d’entreprise doit éprouver des difficultés juridiques, économiques ou financières, actuelles ou prévisibles.
En ce qui concerne sa durée, elle d’au maximum 5 mois (4 mois + prolongation 1 mois supplémentaire).
Surtout, à la différence du mandat ad hoc, la conciliation est compatible avec un état de cessation des paiements de l’entreprise. Il faut cependant que cet état de cessation des paiements soit inférieur à 45 jours. A défaut, seul un redressement judiciaire est envisageable.
Le formalisme de la demande de désignation d’un conciliateur
Cette demande doit être rédigée par écrit, sous la forme d’une requête, adressée au Président du Tribunal compétent. Cette demande doit être motivée puisque le chef d’entreprise doit exposer sa « situation économique, financière, sociale et patrimoniale, ses besoins de financement ainsi que, le cas échéant, les moyens d’y faire face » (Art. L611-6 C.com).
Cette demande doit être accompagnée de pièces justificatives listées à l’article R611-22 du Code de commerce.
=> Modèle de requête aux fins de conciliation
Le conciliateur désigné aura pour mission de parvenir à un accord afin de mettre un terme aux difficultés. Celui-ci pourra également avoir pour mission de préparer une cession (totale ou partielle) de l’entreprise ou encore de la restructurer.
Cette accord sera soit constaté soit homologué par le Juge.
L’accord constaté
L’accord constaté par le Juge lui confère force exécutoire mais uniquement en ce qui concerne les parties à l’accord. Ainsi, les créanciers partie à l’accord ne pourront pas poursuivre l’entreprise pour les dettes qui y sont incluses.
Cette accord restera strictement confidentiel. Cependant, les autres parties, non signataires, pourront toujours poursuivre l’entreprise en paiement.
L’accord homologué
L’accord homologué devient exécutoire contre toutes les parties signataires, à l’instar de l’accord constaté. Il produit cependant des effets supplémentaires :
- Il met fin à l’interdiction d’émettre des chèque s’il en existe (Art. L611-10 C.com) ;
- Le créancier signataire, qui aurait apporté des biens, services ou financements pendant cette période bénéficie d’un privilège de « new money » (Art. L611-11 C.com). Ainsi, en cas d’ouverture ultérieure d’une procédure collective, ce créancier sera payé en priorité.
Pour prétendre à l’homologation, il faut cependant répondre à trois conditions :
- L’entreprise ne doit pas être en état de cessation des paiements ou l’accord y met fin ;
- L’accord doit permettre d’assurer la pérennité de l’entreprise ;
- Cet accord ne doit pas léser les créanciers non-signataires.
A la différence de l’accord constaté, l’accord homologué fait l’objet d’une publicité au BODACC et perd donc sa confidentialité. Cependant, seule l’existence d’un accord est publique mais non son contenu, qui reste secret.
En cas d’échec de ces procédures amiables, le chef d’entreprise peut demander l’ouverture d’une procédure de sauvegarde voire de redressement judiciaire.
NOS CONSEILS
Le recours à ces procédures doit intervenir en amont, avant la défaillance de la société où lorsque celle-ci vient juste d’apparaître. C’est la raison pour laquelle le chef d’entreprise doit agir rapidement afin d’en bénéficier utilement. Pour cela, il est conseillé de faire appel à un avocat spécialisé afin de vous accompagner dans ce processus.
Foire aux questions |
Quel est le coût d’un mandat ad hoc ou conciliation ? Ces coûts sont librement négociés avec le mandataire désigné et contrôlés par le Président du Tribunal. |
Peut-on changer de mandataire ou conciliateur en cours de procédure ? Oui, à tout moment en le demandant au Président du Tribunal. |
Qui accepte ou refuse les accords négociés ? Le chef d’entreprise reste maître de la décision finale. Le mandataire ou conciliateur accompagne les négociations mais ne décide jamais à la place du dirigeant. |
L’accord éventuellement signé bénéficie-t-il à la caution ? Oui uniquement dans le cadre de la conciliation et de l’accord constaté ou homologué. |
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Rien trouvé.
Maison à Alluets-le-Roi (Yvelines) à partir de 900 000 € [Vente du 09/05/2019]
Maison d’habitation
Les Alluets-le-Roi (78580)
Lieudit Le Village – 37 rue d’Orgeval
Maison principale de deux étages sur cave.
Situation : –
Mise à prix : 900 000 €
Informations pratiques :
- Date et heures des visites sur place : 05/04/2019 de 14h à 16h et le 25/04/2019 de 10h à 12h
- La vente aux enchères publiques aura lieu lors de l’audience du 09/05/2019 à 15h
- Lieu de vente : Tribunal de Grande Instance de Bordeaux
- Consultation du cahier des conditions de la vente au greffe du Tribunal ou auprès de l’avocat poursuivant
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MAISON avec JARDIN à Loupes à partir de 80 000 € [Vente du 02/05/2019]
Maison d’habitation avec jardin
Loupes (33370)
route de l’église – 2 allée Barteau
Maison principale comprenant : salle à manger, séjour, cuisine, salle de bains, wc, quatre chambres avec jardin.
Situation : –
Mise à prix : 80 000 €
Informations pratiques :
- Date et heures des visites sur place : 18/04/2019 de 10h à 12h et le 25/04/2019 de 10h à 12h
- La vente aux enchères publiques aura lieu lors de l’audience du 02/05/2019 à 15h
- Lieu de vente : Tribunal de Grande Instance de Bordeaux
- Consultation du cahier des conditions de la vente au greffe du Tribunal ou auprès de l’avocat poursuivant
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Maison à Captieux à partir de 40 000 € [Vente du 02/05/2019]
Maison d’habitation avec jardin
Captieux (33840)
5 Lieudit Le Poteau
Maison principale de plain pied avec jardin comprenant : salle à manger, salon, cuisine cellier, couloir, salle de bain, wc, deux chambres, bureau et cave. A l’extérieur : terrasse, cagibi et débarras.
Situation : Louée
Mise à prix : 40 000 €
Informations pratiques :
- Date et heures des visites sur place : 18/04/2019 de 10h à 12h et le 24/04/2019 de 10h à 12h
- La vente aux enchères publiques aura lieu lors de l’audience du 02/05/2019 à 15h
- Lieu de vente : Tribunal de Grande Instance de Bordeaux
- Consultation du cahier des conditions de la vente au greffe du Tribunal ou auprès de l’avocat poursuivant
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MAISON 104m² avec jardin à Villenave d'Ornon à partir de 110 000 € [Vente du 02/05/2019]
Maison d’habitation avec jardin et garage
Villenave d’Ornon (33140)
3 rue Gabriel Pierné
Maison principale d’une superficie d’environ 104 m² (garage inclus) comprenant au rez-de-chaussée : une entrée, séjour, cuisine, wc. A l’étage : palier donnant sur 3 chambres, bureau, salle de bain. Surface cadastrale de 377 m².
Maison mitoyenne avec jardin sur l’avant, arrière et un côté.
Situation : Occupée par le propriétaire
Mise à prix : 110 000 €
Informations pratiques :
- Date et heures des visites sur place : 08/04/2019 de 08h30 à 10h30 et le 15/04/2019 de 08h30 à 10h30
- La vente aux enchères publiques aura lieu lors de l’audience du 02/05/2019 à 15h
- Lieu de vente : Tribunal de Grande Instance de Bordeaux
- Consultation du cahier des conditions de la vente au greffe du Tribunal ou auprès de l’avocat poursuivant
Ce bien vous intéresse ? Vous avez des questions ?